Sa Majesté, le Roi de Prusse, constate que l'Autriche, une fois encore, propose son traité à l'ensemble des Etats qui font partie de ce qu'elle considère comme sa sphère d'influence. Il ne peut que regretter que l'Empereur d'Autriche n'ai pas choisi l'intérêt supérieur des Etats Allemands eux-mêmes, et de toute la nation Allemande, en intégrant dans pareil traité les princes Italiens.

Ceci dit, la Prusse comprend parfaitement la nature pragmatique de cette demande. Elle aurait sans doute mit l'idéal Allemand devant le pragmatisme économique, ce dernier étant prioritaire à ses yeux. A ce titre, elle alignera sa taxation douanière avec les Etats Allemands sur la somme de 10% de la valeur des produits importés tant que durera la question du blocus américain.

Les États italiens et allemands diminueront leurs taxations de la somme de 15% tant que durera la question du blocus américain.

Le Grand-Duché de Toscane signale également à l'Empereur d'Autriche que certains de ses ateliers ne produisent pas et qu'en échange de PI ou de PT, le pays pourrait produire du Textile de très grande qualité (à partir de tissus nobles) et l'exporterait en contrepartie pour moins cher à l'Empire.