Alors que se déroulaient il y a peu les exercices militaires de l'Internationale, l'Entente, alliée aux Deux-Siciles, organise ses propres exercices en Méditerranée Occidentale, sur les côtes Italiennes.

Une partie de la Royal Navy, ainsi que les marines Françaises et Sud Italiennes, ont ainsi organisé une simulation de bataille navale de grande ampleur dans les eaux entre la Sardaigne et le Mezzogiorno. Les amiraux ont ainsi pu s'exercer à travailler en coopération, de même que les pilotes d'avions ; la petite chasse Sarde s'est même déployée depuis le porte-avion d'escorte Français, renforçant les liens entre eux. Car, en plus de manoeuvres navales, l'Entente s'est exercée au contrôle aéronavale, les chasses des différents pays se "battant" pour contrôler le ciel.

L'entraînement suivant fût une grande opération de débarquement sur les plages du Sud de l'Italie. Des milliers de Marines ont débarqué depuis les navires de l'alliance et ont simulé un affrontement contre des troupes locales, s'assurant de pouvoir progresser et vaincre leurs ennemis - que chacun a deviné être les syndicalistes du Nord. Là encore l'aviation, déployée depuis les portes-avions Britanniques et Français, s'assurait de contrôler le ciel durant l'opération.

Les politiciens de l'Internationale prirent ces exercices comme une menace directe contre la République Socialiste d'Italie. Les Guardie Rosse, afin de répondre à la provocation, envoyèrent une brigade à la frontière avec les Deux-Siciles en chantant l'Internationale et en portant bien haut les drapeaux de la République. Le Camarade Léon Blum, en France, déclara que si les camarades Italiens avaient besoin de l'aide de la Commune contre les Impérialistes, alors la Commune devrait voler à leur secours !

Effets :

• Légère augmentation de l'expérience militaire des armées Britanniques (nationalistes), Françaises (nationalistes), Sardes et Siciliennes.