Avec l'effondrement de la Ligue des Huit Provinces, l'aile gauche du Kuomintang, le KMT Socialiste, a lancé l'insurrection à Longyang et dans sa région. Ils affrontèrent la Clique de Nanjing, les reliquats de la Ligue, avec le soutien de l'Armée de Fer, une des plus puissantes armées de tout l'Empire. La Clique d'Anqing, un autre descendant de la Ligue, attaqua plus tard la Clique de Nanjing et s'empara de larges pans de territoires, finissant par faire face aux socialistes.
L'Empire du Japon envoya alors une grande force de frappe vers Longyang, détruisant la faible flotte du KMT et opérant un prodigieux débarquement. Mais l'Empire de Chine était une zone d'influence Allemande, protégé par de nombreux traité, et le Kaiserreich ne goûta pas à cette intervention. Il exigea des Japonais qu'ils évacuent la Chine, ce qui fût fait rapidement. Malheureusement les socialistes sortaient bien trop affaiblis de cette violente attaque Japonaise pour continuer de combattre l'Anqing.
Fût alors organisée la Longue Marche, durant laquelle les milices populaires socialistes entrèrent au Guangxi, provoquant le chaos sur leur passage. Cette marche, désorganisée et nécessitant du ravitaillement, fût provocatrice d'émeutes et de violences dans la région, forçant les autorités du Liangguang à intervenir pour maintenir l'ordre, et permettant à Li Zongren, le général de l'Armée d'Acier, l'armée Chinoise la plus puissante entre toutes, de revendiquer sa terre natale du Guangxi en profitant du désordre, lançant la guerre civile du Guangxi.
L'Armée de Fer, de son côté, traversa le Hunan, s'assurant que le nouveau gouvernement de la province la ravitaille, et lança l'assaut sur le Yunan, profitant que ce dernier était empêtré dans une guerre civile entre les deux plus grands chefs militaires de la province. Ce nouveau conflit quadripartite décidera de l'avenir du Yunan, une place centrale en Chine, qui permet notamment de lancer des interventions en Asie du Sud-Est.
Au nord-ouest de la Chine, le Xinjiang s'effondre lui aussi dans la guerre civile. Le gouvernement Han, récemment devenu bien plus extrême vis-à-vis des populations Turques, provoque des soulèvements de la part des Khumuls et des Ouïghours, qui mobilisent des armées populaires pour instaurer un État Turc à la place de la clique militaire Han.